Pour le poète, qui s’est pénétré de son néant, c’est « une vapeur, une ombre ». […] L’homme que Dieu a fait à son image, n’est-il qu’une ombre ? […] Ombre d’Agamemnon, sois sensible à mes cris ! […] Rousseau, évoquant la grande ombre de Fabricius, la fait parler. […] L’ombre est prise ici pour l’arbre qui la produit.