Là, souvent tu verras près de ton mausolée, Tes frères gémissants, ta mère désolée, Quelques amis des arts, un peu d’ombre et de fleurs, Et ton jeune laurier grandira sous mes pleurs. […] L’ombre se fit rapidement sur des noms rayonnants naguère, et les yeux se tournèrent vers l’aurore qui se levait.