Notre langue ne souffre point ces ombres qui se placent entre notre pensée et nous ; c’est le premier devoir de l’écrivain de s’en défier, ou plutôt de les chasser courageusement, comme Énée dissipait les ombres avec son épée. […] Images : elles sont mauvaises quand elles masquent l’objet, et font de l’ombre un corps, quand elles absorbent l’attention aux dépens de l’idée.