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18. (1883) Morceaux choisis des classiques français (prose et vers). Classe de troisième (nouvelle édition) p. 

Par quels soins, par quels pleurs fléchir le dieu des morts ; Déjà cette ombre froide arrive aux sombres bords. […] sors de tes ruines,          Grande ombre ! […] L’astre des nuits, la triple Hécate, qui répète par des harmonies plus douces celles de l’astre du jour, en se levant sur l’horizon, dissipa l’empire de la lumière et fit régner celui des ombres. […] Toi, sur elle épanchant cette ombre et tes murmures, Oh ! […] Où moi-même souvent je venais chercher l’ombre.

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