L’étude des lettres, le métier des armes, le célibat, le mariage, l’état ecclésiastique, ne lui avaient rien offert qui pût remplir son cœur et satisfaire son Âme ardente. […] Dit le prélat, et moi ne puis-je vous offrir, Touché de vos regrets, de quoi les adoucir ? […] L’offrira-t-on bientôt ? […] Mais ce n’est plus, madame, une offre à dédaigner : Je vous le dis, il faut ou périr ou régner. […] Je l’en puis détourner, et je t’y vais offrir ?