Les prospérités militaires laissent dans l’âme je ne sais quel plaisir touchant qui l’occupe et la remplit tout entière. […] Le même orateur fait de la modestie de son héros le tableau suivant : « Il revenait de ses campagnes triomphantes, avec la même froideur et la même tranquillité que s’il fût revenu d’une promenade, plus vide de sa propre gloire que le public n’en était occupé.