Au lieu de nous accoutumer dès l’enfance, par la pensée et par les sens, à ne regarder cette séparation que comme le moment du départ pour un voyage sans retour, voyage que nous ferons un jour nous-mêmes, sans doute pour nous réunir dans des régions invisibles, on n’a rien oublié de ce qui était propre à en faire un objet d’horreur. […] Elles ont été l’objet de mes méditations assidues, dans un jour de maux et d’ennuis, et m’ont paru merveilleuses : je veux vous en féliciter.