combien de fois, la nuit, Ou quand j’erre le jour dans la foule et le bruit, Tu m’apparais ! […] Puis j’entre, et c’est d’abord un silence profond, Une nuit calme et noire ; aux poutres du plafond Un rayon de soleil, seul, darde sa lumière, Et tout autour de lui fait danser la poussière5. […] Bientôt, le temps venu de ses fauves amours, Il partit seul, errant et les nuits et les jours ; S’arrêtant pour humer, épuisé de ses courses, La fraîcheur des taillis et la fraîcheur des sources. […] Que la fournaise flambe, et que les lourds marteaux, Nuit et jour, et sans fin, tourmentent les métaux !