Toutefois, dans Médée (1634), son génie s’était déjà révélé par des notes superbes et des tirades hautaines, quand parut le Cid, en 1636. […] Soit qu’il m’attaque en soldat, soit qu’il m’attaque en écrivain, il saura que je sais me défendre de bonne grâce. » (Notes de M.