S’il ne s’agissait, d’ailleurs, que de lutter d’autorités, il ne serait pas difficile de trouver nombre d’auteurs, surtout parmi les poètes et les vrais critiques, qui ont été d’un avis tout contraire, n’admettant jamais parmi les poèmes les ouvrages en prose, quelque poétiques qu’ils fussent. […] Ces règles ne peuvent pas être fixées avec une rigueur mathématique ; mais personne ne doutera qu’au nombre des conditions générales de la bonté dans les ouvrages, on ne doive compter les suivantes : 1º.