Le ton du philosophe pourra devenir sublime toutes les fois qu’il parlera des lois de la nature, de l’être en général, de l’espace, de la matière, du mouvement et du temps, de l’âme, de l’esprit humain, des sentiments, des passions ; dans le reste, il suffira qu’il soit noble et élevé. […] « La physionomie de la pensée est le signe et la mesure de l’Intelligence : la même idée est ou vulgaire ou noble, selon la vulgarité ou la noblesse de l’esprit qui la met en œuvre.