Enfin, à quarante ans, après une maladie noire causée par ses longues épreuves, il publie les Études de la nature (1784), œuvre originale dont le succès le tire de l’indigence et le rend le favori de l’opinion. […] Ses derniers ouvrages,La chaumière indienne (1791) et les Harmonies de la nature (1796) mêlent aux pages les plus riantes des rêves chimériques et la fadeur d’un ton trop sentimental. […] (Harmonies de la nature, tom. […] Comparez ce paysage de Maurice de Guérin : c’est peint de près, sur place, d’après nature. […] Il a l’imagination tendre ; quelquefois il en abuse, il amollit la nature, Mais quand la fadeur ne gâte pas ses peintures, comme il y verse la lumière, le sentiment de la prière, du recueillement et du silence !