Les diphthongues sont longues de leur nature : cǣlum, aūrum, pǣna, rosǣ, etc. […] A moins toutefois que la voyelle ne soit longue de sa nature. […] Dans ce vers, a, dernière voyelle de agricolam, qui est brève de sa nature, devient longue par position, parce qu’elle est suivie de deux consonnes, m et l.