/ 108
42. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VI. Contes, romans, nouvelles. »

Il semble résulter des exemples mêmes qu’ils apportent, ainsi que de l’usage, qu’il n’y a pas de différence fondamentale entre le conte et le roman : l’un et l’autre sont des narrations mensongères ou regardées comme telles. Tout ce qu’on peut dire, c’est que conte est le terme générique, puisqu’il s’applique à toutes les narrations fictives, depuis les plus courtes jusqu’aux plus longues ; le roman ne se dit que de celles-ci.

/ 108