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24. (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)

Le signe nécessaire, c’est la preuve (τεκμήριον)199 ; quant au signe non nécessaire, il n’a pas de dénomination distinctive. […] J’appelle « nécessaires » les signes dont se tire un syllogisme. […] Les faits dont l’existence actuelle ou future ; est nécessaire, et ceux dont l’existence passée est impossible, sont en dehors de toute délibération. […] Si donc le cas est resté indéterminé et qu’il soit nécessaire d’établir une loi, il faut s’exprimer en termes généraux. […] Il est donc nécessaire, surtout pour de telles occasions, que l’on use de bons offices, ou sinon, pour des occasions équivalentes, ou plus importantes.

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