Ce que l’on admire principalement dans cette belle production, c’est la grande pensée de la religion, qui domine dans tout l’ouvrage, qui en rattache toutes les parties au but que l’auteur se propose, celui de montrer la main d’un Dieu même conduisant tous ces grands mouvements, et de nous ramener aux éternelles vérités de la foi et de la raison, à travers les ruines même entassées par le génie de l’irréligion et de l’erreur. […] Combien de traits sublimes, de comparaisons heureuses, de mouvements pleins d’énergie ou de sensibilité elles peuvent fournir au poète ou à l’orateur capable d’en profiter !