Née à Paris le 5 février 1626, Mme de Sévigné mourut en 1696, la même année que La Bruyère. […] Enfin, ma fille, me voici dans ces pauvres Rochers : peut-on revoir ces allées, ces devises, ce petit cabinet, ces livres, cette chambre, sans mourir de tristesse ? […] J’admire et je loue de plus en plus votre sagesse ; quoiqu’à vous dire le vrai, je sois fortement touchée de cette impossibilité, j’espère qu’en ce temps-là nous verrons les choses d’une autre manière ; il faut bien l’espérer, car, sans cette consolation, il n’y aurait qu’à mourir.