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57. (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)

Non, tu ne mourras point ; je n’y puis consentir. […] Des jeunes gens tourmentent pour son héritage un vieillard cassé et près de mourir, et fabriquent en son nom un faux testament pendant qu’ils le croient à l’agonie. […] monsieur, nous mourrons un jour sur un fumier. […] Il en mourra, le traître ! […] Beaux arbres qui m’avez vu naître, Bientôt vous me verrez mourir.

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