Un mot mis hors de sa place gâte la plus belle pensée. […] Il ne faudrait pour cela qu’un mot de la main de Son Excellence. […] N’oubliez point vos amis, et ne passez point des mois entiers sans leur écrire un mot. […] Voilà un mot que le pauvre philosophe Helvétius n’a guère justifié. […] Cette note attendrie est rare chez Voltaire, mais elle est pourtant habituelle à ses lettres de Berlin et de Potsdam ; elles finissent presque toutes par quelques mots mélancoliques :« Je vous embrasse tristement.