Le sixain suivant de Boileau est d’un caractère tout différent : ce n’est plus la pensée, c’est la sensibilité qui en fait le mérite ; on l’appelle alors un madrigal et non pas une réflexion : Voici les lieux charmants où mon âme ravie Passait à contempler Silvie, Ces tranquilles moments, si doucement perdus. […] crains de paraître ; Diffère un moment de t’ouvrir.