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33. (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)

Telles sont donc les mœurs des jeunes gens et celles des vieillards. […] Les races bien douées finissent par en venir à des mœurs plus insensées. […] Quelles mœurs accompagnent la richesse, tout le monde le voit aisément. […] En somme, la richesse donne les mœurs d’un insensé heureux. […] Nous avons parlé des mœurs dans leurs rapports avec l’âge et avec la fortune.

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