Au sortir de là, je suis arrivé à Savone4, où j’ai trouvé la mer un peu plus émue qu’il ne fallait pour le petit vaisseau que j’avais pris, et néanmoins je suis, Dieu merci, arrivé ici à bon port. […] Enfin je suis échappé des bandits, des Espagnols et de la mer : tout cela ne m’a point fait de mal, et vous m’en faites, et c’est pour vous que je cours le plus grand danger que je courrai en ce voyage.