Le poète ne peut bien distinguer et faire connaître ses personnages que par les mœurs et les caractères qu’il leur donne ; on appelle ainsi les inclinations ou habitudes bonnes ou mauvaises de chacun. […] Ces deux noms se prennent toujours en mauvaise part. […] Le Mauvais ménage, Agnès de Chaillot, la Petite Iphigénie sont trois parodies excellentes, l’une de Marianne, tragédie de Voltaire ; l’autre d’Inès de Castro, tragédie de Lamotte ; la troisième d’Iphigénie en Tauride, tragédie de Guimond de la Touche. […] Il y a de mauvaises pointes, des bouffonneries, des turlupinades, de plats jeux de mots.