Cela posé, il en résulte, nécessairement, que l’adoption des choses bonnes est bonne elle-même, ainsi que le rejet des choses mauvaises. […] Est bonne toute chose dont le contraire est mauvais. […] Toutes ces questions reviennent à celle de savoir s’il a été accompli un acte injuste et mauvais, ou un acte non injuste. […] En effet, les injustices inspirées par un désir passionné ont pour origine une mauvaise intention. […] Tel est aussi le cas de nos relations anciennes quand elles n’ont donné lieu à aucune mauvaise action de notre part.