Que de fois n’avons-nous pas vu nos fantassins, presque engloutis dans les marais et les fondrières, s’encourager à en sortir, en se disant les uns aux autres les motifs de la marche forcée, motifs que le chef était intéressé à tenir secrets, et que leur perspicacité avait devinés ! […] On se pressait, on courait ; pour vaincre, nos jeunes soldats étaient toujours frais et reposés… « Voyez les bataillons français arriver au bivac après une marche longue et pénible.