Et quand ils sont dans la disgrâce, et qu’on les envoie à leurs maisons des champs5, où ils ne manquent ni de biens, ni de domestiques pour les assister dans leurs besoins, ils ne laissent pas6 d’être misérables et abandonnés, parce que personne ne les empêche de songer à eux. […] Ce n’est pas assez qu’une chose soit belle, il faut qu’elle soit propre au sujet, qu’il n’y ait rien de trop1, ni rien de manque.