Rapproche de moi les malheureux que mon abord intimide : ne crains d’abuser ni de ma bourse ni de mon crédit ; prends, épuise mes biens, a fais-moi riche. […] Il suppose que son ami malheureux lui adresse la parole. […] Il se peint comme le plus malheureux des mortels. […] il aima trop un ami malheureux ; Voilà tout son forfait, j’en atteste les dieux ! […] Ce n’est plus Virgile que vous écoutez ; vous êtes trop attentif aux dernières paroles de la malheureuse Didon pour penser à lui.