Par toi les malheureux oublient leurs peines, les heureux doublent leurs plaisirs. […] On pourrait appliquer le même raisonnement à ces vers de La Fontaine : Les délicats sont malheureux : Rien ne saurait les satisfaire. […] Quel est celui qui ne serait vivement ému, à la vue des tortures qui assiègent le malheureux Montaigu, renfermé avec ses enfants dans la Tour de la faim, à Pise ? […] J’ai vu, seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris, Il veut les rappeler, et sa voix les effraie.