De trente nations malheureux conquérants, La peine était pour vous, le fruit pour vos tyrans. […] On voit que, soutenu par un grand modèle, il a fait des efforts pour s’élever même au-dessus de lui, s’il était possible, et ses efforts n’ont pas été malheureux pour cette fois. […] Que nous reste-t-il enfin que le souffle malheureux qui nous anime ? […] Ceux que mes espérances, que les liens du sang, ou la jalousie même, intéressaient à mon sort, donneront des pleurs à la fin malheureuse d’un prince jadis comblé de gloire, et tant de fois échappé à la fureur des combats, pour succomber sous les intrigues d’une femme !