Le stoïcisme et le christianisme C’est le malheur, et je dirais presque la faute de la philosophie stoïcienne1. […] Le stoïcisme romain a vécu et est mort les bras croisés : c’est là son tort et son malheur. […] Elle nous soutient surtout dans le malheur, dans l’oppression, et dans l’abandonnement qui la suit ; et c’est peut-être la seule consolation que je doive implorer, après trente années de tribulations et de calomnies qui ont été le fruit de trente années de travaux. » 2.