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161. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IX. Poésies fugitives. »

Pour nous, vil peuple, assis aux derniers rangs, Troupe futile et des grands rebutée, Par nous, d’en bas, la pièce est écoutée ; Mais nous payons, utiles spectateurs : Et quand la farce est mal représentée, Pour notre argent nous sifflons les acteurs. […] On appelle quelquefois anacréontiques (et c’est une qualification bien mal justifiée) des chansons érotiques, comme on suppose qu’Anacréon en a pu faire, dans lesquelles il y a à la fois une grande délicatesse de sentiment et une grande douceur d’expression.

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