Et en quelle saison Revoiroy je le clos de ma pauvre maison, Qui m’est une province, et beaucoup davantage ? […] Forest, haute maison des oiseaux bocagers ! […] Je suis plein de despit, quand les femmes fragiles Interpretent en vain le sens des evangiles, Qui devraient mesnager et garder leur maison. […] O la pitiê de voir la flamme qui sacage, Devorant sans mercy les maisons d’un village ! […] La peine est bien plus grande Qui voit sans fin son fait : telle je la demande ; Et si les Dieux du ciel ne m’en faisoyent raison, J’esmouvrois, j’esmouvrois l’infernale maison.