Quand on entre dans cette ville qui surgit d’un désert de sables, quand on se promène pour la première fois dans ces rues larges et bien alignées, où chaque maison est comme un palais, on éprouve une impression de grandeur. […] « Dans de grandes huttes qu’on appelle maisons, on voit des animaux qu’on appelle hommes, qui vivent le plus cordialement du monde pêle-mêle avec d’autres animaux domestiques. Une certaine pierre dure, noire et gluante, composée, à ce qu’on dit, d’une espèce de seigle, est la nourriture des maîtres de la maison.