Si vos bras sont engourdis, rendez-moi l’une de mes deux mains ; j’aurai assez de l’une ou de l’autre pour conquérir la liberté par le glaive. […] Pourquoi ne pas lui lier les mains derrière le dos, jusqu’à ce que César, en arrivant ici, me trouve manquant de tout moyen de défense ? […] Qui nous empêcherait :, en effet, d’attaquer l’Afrique et Carthage’, puisqu’elles seront sous notre main ? […] moi, je ne répandrai pas votre sang, je ne souillerai pas mes mains comme vous avez souillé les vôtres. […] Enfin un cavalier Gaulois ou Cimbre, se présenta, et l’épée à la main, entra dans la chambre où reposait Marius.