« Les mots, dit Quintilien, sont dans les mains de l’orateur comme une cire molle et flexible qu’il anime, qu’il tourne comme il veut, et à laquelle il fait prendre toutes les formes qu’il lui plaît.
« Les mots, dit Quintilien, sont dans les mains de l’orateur comme une cire molle et flexible qu’il anime, qu’il tourne comme il veut, et à laquelle il fait prendre toutes les formes qu’il lui plaît.