Si les biens nous viennent, recevons-les de la main de Dieu ; mais n’ayons pas de vues trop2 vastes. […] Je ne pourrais le supporter, si je ne regardais d’où il nous vient, et2 que les hommes ne sont que des instruments entre la main de Dieu, pour affliger un royaume trop heureux, et pour humilier un roi trop grand.