On a de lui des Sermons, des Panégyriques, des Mémoires ingénieux et d’estimables Histoires ; mais c’est surtout dans l’oraison funèbre qu’il s’est distingué. […] L’un, voyant croître ses moissons, bénit la mémoire de celui à qui il doit l’espérance de sa récolte ; l’autre, qui jouit encore en repos de l’héritage qu’il a reçu de ses pères, souhaite une éternelle paix à celui qui l’a sauvé des désordres et des cruautés de la guerre.