Si d’un heureux hymen la mémoire t’est chère, Montre au fils à quel point tu chérissais le père1. » Et je puis voir répandre un sang si précieux ! […] Madame, il ne voit rien : son salut et sa gloire Semblent être avec vous sortis de sa mémoire. […] On lira aussi avec intérêt, sur la vie domestique et sur les travaux de ce poëte, des Mémoires que nous devons au second de ses fils, à Louis Racine, quoiqu’ils aient été rédigés avec plus de piété que d’exactitude.