Quel moyen reste-t-il pour en graver l’empreinte dans l’esprit des élèves, que la méthode de Crassus, une lecture à haute voix, et, après la lecture, une rédaction, une traduction de mémoire ? […] Il se hâte de prononcer, et il ferme les yeux, parce que sa mémoire travaille trop. […] Mais les divisions ne servent-elles pas pour soulager l’esprit et la mémoire de l’auditeur ? […] La division soulage la mémoire de celui qui parle. […] D’où vient que Pellisson eut le premier le vrai style de l’éloquence cicéronienne, dans ses mémoires pour le surintendant Fouquet ?