Et puisse alors le cœur de sa mère en tressaillir d’allégresse ! […] Pour quelle mère ! […] il mourra donc ; il n’a pour sa défense Que les pleurs de sa mère et que son innocence.
Et puisse alors le cœur de sa mère en tressaillir d’allégresse ! […] Pour quelle mère ! […] il mourra donc ; il n’a pour sa défense Que les pleurs de sa mère et que son innocence.