La littérature grecque est peut-être la seule qui fasse exception, pourvu qu’on l’ouvre par Homère et qu’on la ferme sur Théocrite, les éternels modèles du naturel et de la vérité. En France, à la fin du xvie siècle et au commencement du xviie , la littérature fut en proie à une déplorable manie d’emphase et d’afféterie. […] Les poëmes d’Ossian jetés en France à la fin du xviiie siècle, et qui plaisaient tant à Napoléon, exercèrent une fâcheuse influence sur la littérature.