Puisque de légitimes désirs de réformes ont préoccupé de nos jours la conscience publique sur tout ce qui regarde l’éducation et l’instruction, il fallait mettre au premier rang de ces réformes un soin plus vigilant à ne présenter aux jeunes intelligences que des modèles accomplis sous le rapport moral ainsi que sous le rapport littéraire. […] Ses trois Discours sur la tragédie, modèles de saine discussion littéraire et de critique élevée, parurent au moment où Racine et Molière allaient remplacer sur la scène française l’auteur du Cid et du Menteur.