A moins toutefois qu’il ne lui vienne ici un scrupule à l’esprit sur l’étendue des deux épopées homériques, qui, en effet, ne pourraient guère être lues d’une seule haleine, quoi qu’en dise le savant Dacier. […] Nous avons adopté les conjectures de Vahlen, qui permettent au moins de voir un sens raisonnable dans la phrase d’Aristote pour la construire grammaticalement, il faudrait, en outre, lire, avec Bonitz, δεῖ, pour δή mais il resterait encore à expliquer προσθεῖναι.