Rousseau nous en donne un exemple brillant dans son discours sur l’influence des lettres et des arts : — « Aujourd’hui que des recherches plus subtiles et un goût plus fin ont réduit l’art de plaire en principes, il règne dans nos mœurs une vile et trompeuse uniformité, et tous les esprits semblent avoir été jetés dans un même moule. » — Voilà l’idée générale. […] Voyez dans Rousseau (Discours sur l’influence des lettres et des arts) le passage qui commence par ces mots : — Opposons à ce tableau celui des mœurs du petit nombre de peuples, etc.