Vous vous hasardez à mériter le reproche adressé par Boileau à ces poëtes riches d’imagination, mais pauvres d’études préliminaires, Dont le feu, dépourvu de sens et de lecture, S’éteint à chaque pas, faute de nourriture. […] Ainsi donc, sans aveugle erédulité dans les prescriptions des rhéteurs anciens, on peut admettre les lieux externes, et recommander dans ee but l’étude attentive et complète de tous les objets extérieurs qui ont rapport au sujet, et la lecture de tous les livres qui peuvent en éclaircir l’ensemble ou les détails.