Elle ne doit pas non plus, à l’imitation des traités de Cicéron et de Quintilien, ramener perpétuellement le lecteur à l’éloquence de la tribune et du barreau, comme si ces deux genres étaient les seuls qui fussent cultivés parmi nous.
Elle ne doit pas non plus, à l’imitation des traités de Cicéron et de Quintilien, ramener perpétuellement le lecteur à l’éloquence de la tribune et du barreau, comme si ces deux genres étaient les seuls qui fussent cultivés parmi nous.