L’on sent dans cette situation que si rien ne nous obligeait à vivre, il vaudrait beaucoup mieux mourir ; mais lorsque, après cette première pensée, l’on presse ses enfants sur son cœur, des larmes, des sentiments tendres raniment la nature, et l’on vit pour ses enfants. […] Le général Lamarque disait : « Nous sommes si accoutumés à nous voir mourir, que cela nous paraît dans l’ordre des convenances ; sans cela nous serions toujours dans les larmes, et le devoir en souffrirait. » 1.