Il paraît devant vous avec des vêtements de deuil, il verse des larmes, et néanmoins il cherche à vous persuader qu’ils méritent de la compassion ces hommes qui ont massacré ses enfants ! […] Mais si vous préparez, toi et les tiens, de funestes débats, nous ne pouvons offrir que nos larmes à la guerre civile. […] Enfin, son fils tout en larmes, se précipitant dans ses bras, le conjura de ne pas attenter à ses jours. […] Le guerrier jette sur lui un regard caressant et garde le silence. — Andromaque, les paupières remplies de larmes, saisit la main de son époux et lui dit : « Malheureux époux ! […] Je n’aurai plus que des larmes à verser.