Dans ce passage, le mot λϐγους a paru suspect à Schneider, à Coray, et, après eux, à Letronne (Appendice des Lettres d’un Antiquaire à un Artiste, p. 28, note), qui demande si « on a jamais dit dans aucune langue : voir des discours ? » C’est pourtant là un idiotisme bien constaté, sinon de la langue grecque, au moins du style d’Aristote voy. […] Ce n’est que chez les grammairiens de la décadence que les mots ἑλληνιϰός, ἑλληνίζειν, ἑλληνισμός s’appliquent aux mots et aux tournures de la langue commune, par opposition au pur atticisme.