C’est une époque bien glorieuse pour les lettres françaises, et qui justifie bien heureusement ce qu’un ancien a dit de l’étude des belles-lettres en général, qu’elles ne laissaient rien de barbare dans le cœur qui les aimait : Emollit mores, nec sinit esse feros. […] — J’ignore ce que veulent et ce que demandent, trop ouvertement néanmoins pour le laisser ignorer à personne, ceux qui ne sont pas satisfaits encore d’un si déplorable malheur ; mais je ne puis ignorer, sire, ce que souhaitent ceux qui ne regardent que votre majesté, et qui n’ont pour intérêt et pour passion que sa seule gloire.